Le Hezbollah a fermement condamné « le bombardement par l’ennemi israélien de l’hôpital baptiste Al-Ahli à Gaza, qui a conduit à la destruction de plusieurs sections de l’hôpital, le mettant hors service. Les patients, les blessés et les civils qui y avaient cherché refuge contre le terrorisme et les crimes de l’ennemi ont été contraints de se déplacer ».
Dans un communiqué publié le dimanche 13 avril, le Hezbollah a affirmé que: « Cette agression flagrante constitue un crime de guerre flagrant et réaffirme une fois de plus la nature brutale et criminelle de l’ennemi sioniste, qui n’hésite pas à commettre les crimes les plus odieux, sous prétexte de fausses allégations et de mensonges, et au mépris total de toutes les lois humanitaires et internationales. »
Et de souligner : « les agressions répétées de l’ennemi israélien contre le système médical, notamment les hôpitaux, les équipes de secours et les soignants, s’inscrivent dans la continuité de la guerre d’extermination menée par la machine à tuer sioniste contre le peuple palestinien persévérant ».
Et d’ajouter : « Il s’agit d’un crime brutal dans le contexte de la destruction systématique de ce qui reste des fondements de la vie dans la bande de Gaza assiégée, avec la complicité et le soutien illimités des États-Unis ».
Le Hezbollah a en outre appelé « les organisations internationales et de défense des droits de l’homme, ainsi que les organismes médicaux et humanitaires arabes et internationaux, à condamner cette agression brutale et à prendre des mesures urgentes pour protéger les civils et les établissements de santé à Gaza et à prendre des mesures immédiates pour mettre fin aux crimes de génocide ».