C’est désormais un grand classique des États-Unis : le vol de leurs ennemis. Souvenez-vous, durant la guerre contre l’Irak, en 2003, les réserves de la Banque Nationale iraquienne ont disparu sans laisser de trace. Washington a accusé le président vaincu, Saddam Hussein, d’avoir lui-même cambriolé sa banque, mais n’a pas ...