Elles sont tchétchènes, daguestanaises ou ingouches et n’ont plus de nouvelles de leurs familles, parties rejoindre l’organisation Etat islamique. Aujourd’hui, ces grand-mères frappent à toutes les portes pour tenter de retrouver la trace de leurs enfants. Leurs histoires sont souvent similaires: leur fille, diplômée et bien installée, parfois tout juste ...