S. Nasrallah : Ce qui menace le Liban et la conjoncture démographique au Liban ce ne sont pas les déplacés syriens mais les politiques américaines arrogantes, laides et insolentes.
S. Nasrallah : Nous savons aussi que l’ambassadrice américaine s’ingère en personne lorsque les forces de sécurité libanaises décident de rapatrier des syriens pour des raisons pénales et enquêtent pour sa voir qui a pris la décision et qui l’a exécutée.
S. Nasrallah : il ne faut surtout pas laisser régner une atmosphère d’animosité à l’encontre des déplacés syriens ; il ne faut pas se comporter comme s’il est permis de s’en prendre à eux. Cette affaire ne peut être réglée par les insultes et l’agressivité.